• Star Wars 8 (film, 2017)

     

     Star Wars (film, 2017)

    Crédit photo et vidéos : Walt Disney Studio Motion Pictures, Lucas Film, Ram Bergman Production

    Résumé : Suite de l'épisode 7. La résistance (dont il ne reste plus grand-chose) est pourchassée jusqu’aux confins de la galaxie par «le Premier Ordre ». Elle doit compter sur des coups de mains extérieurs (Luc Skywalker exilé sur une île, un maître en décryptage pour infiltrer un vaisseau ennemi notamment), ainsi que sur quelques coups de pouce du destin ou des ralliements pour espérer survivre.

     

     

     

    Ayant vu tous les épisodes précédents de Stars Wars, je me voyais mal passer à côté de celui-là, mais j’ai beaucoup tergiversé avant de le voir tout comme j’hésite encore à voir le dernier opus de la planète des singes. Serais-je peut être en train de faire une petite indigestion de superproductions américaines de science fiction ? c’est possible.

    Passons mes états d’âme de critique en herbe désabusé, et rentrons dans le vif du sujet immédiatement.

     

    Hormis Daisy Ridley (ci-dessous), beaucoup de personnages principaux ne sont pas assez charismatiques, ce qui me fait dire que le casting est cran en dessous de ce que j’attendais pour une production de ce type.

    Star Wars (film, 2017)

    Question humour, aussi, la déception est là. En effet, l'humour plutôt bon public ne porte pas ou très peu . Quant à la bande son, qui cherche à nous prendre par les sentiments à tout bout de champ, elle a tendance a faire perdre un peu de charme à l’ensemble, mais elle s’améliore nettement en deuxième partie de film à la faveur d’un scénario plus haletant.

     

    Qu’elles se déroulent dans les airs ou à l’intérieur même des navettes spatiales, les scènes de combat sont époustouflantes et finalement conformes à ce que l’on attend d’un Star Wars, avec la reprise d’anciens vaisseaux qui ont fait le succès de la première trilogie. La plupart de toutes les anciennes machines de guerres «classiques» ont été reprises, à l’instar des bipodes ou des quadripodes (ci-dessous) que l’on prend plaisir à revoir à l’oeuvre.

    Star Wars (film, 2017)

    Il faut plutôt chercher la nouveauté du côté des nouvelles armes attribuées à la garde personnelle du «suprême leader » ou de la représentation des espèces animales «extraterrestres» stupéfiantes et variées. Les costumes et les décors sont dans le prolongement des opus précédents, grandioses et soignés, et ils sont ici le plus souvent juste améliorés, à l’instar de notre cher et tendre R2 D2 qui a dû adopter des formes rondouillardes pour être plus performant.(ci-dessous)

    Star Wars (film, 2017)

    Mon appréciation sur ce film est plutôt positive, car sa mécanique est de monter en puissance jusqu’à la fin, et il y réussit plutôt bien. Digne de la saga, sans être exceptionnel.

     

     

     MA NOTE GENERALE : 6/10

     

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